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samedi 27 mai 2017

Que disent les premières critiques de Good Time ?

Ce matin, le film était projeté pour la première fois à la presse, nous vous proposons un aperçu de ce que pensent les critiques français :

Les critiques positives :

Les Inrocks :
"Pattinson est dément, parfaitement à l’unisson décavé du film. Si il y a une justice, le film devrait se retrouver deux fois au palmarès : Prix de la mise en scène pour les frères et Prix d’interprétation masculine pour Pattinson."

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Trois couleurs :
"Fiévreux, électrisant, glauque, hystérique, émouvant... Une flopée d'adjectifs nous submerge quand on sort (réjouis) de Good Time. Les frères Safdie (The Pleasure of Being Robbed, Mad Love in New York) réveillent la compétition avec leur trip hallucinogène brutal piqué de douceur."

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Onlike :
"GOOD TIME est une plongée en avant nocturne et animale, de celle qui ne baisse pas de régime durant sa centaine de minutes. Les Safdie dirigeant de nombreux départements sur leurs films, indiquent leur volonté de coller au plus près de leurs personnages, leur faisant faire mille choses pour habiter un scénario qui ne freine jamais. Jamais juge, toujours fixé sur le moment suivant, GOOD TIME vous embarquera pour un voyage à sens unique."

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Konbini :
"Il livre dans Good Time une performance impressionnante en endossant le rôle d’un bras cassé prêt à tout pour faire évader son frère de taule après un braquage raté. Look crado, cheveux teints en blond platine, il balade son regard halluciné dans une ville de New York interlope, faite de néons et de taudis. De quoi lui permettre de rejoindre la short-list des candidats au prix d’interprétation masculine."

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Télérama :
Braquage loupé, dérive dans les bas-fonds new-yorkais : la fratrie de cinéastes indépendants signe son premier polar et réussit à intégrer Robert Pattinson dans son univers déglingué.[...]Good Time est un film noir stimulant, chahuté, imprévisible. Une dérive, entre humour, désespoir et violence, dans les bas-fonds new-yorkais, après un hold up raté.[...]L'intégration de l'ex-vampire sentimental de Twilight à ce monde interlope et à ce cinéma tout en aléas est parfaitement fluide.

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Le Buzzomètre de Canal+ :

Paris Match: 
De presque tous les plans du film, l'acteur anglais Robert Pattinson impressionne dans le rôle de la petite frappe prête à tout pour libérer son frère. Son énergie porte «Good Time», polar hyper-stylisé - la musique électronique de Oneohtrix Point Never est particulièrement trippante - auquel il manque juste un peu de fond pour emporter totalement la mise.

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Première :
Avec humour, sens de la dérision et amour pour leurs personnages de marginaux empêchés et gaffeurs, les frères Safdie réalisent un hommage appuyé à Martin Scorsese qui, avec After hours et A tombeau ouvert, a fixé les règles d’une sorte de sous-genre peu fréquenté –mais très fréquentable. Ils ont adapté leur style foutraque aux contraintes imposées –du rythme, du rythme, du rythme- pour un résultat satisfaisant : caméra mobile au plus près de l’action, montage nerveux, musique electro immersive, photo expressionniste. Cette très honnête série B est tirée vers le haut (pas au point quand même de rivaliser avec ses illustres aînées) par un Robert Pattinson qui confirme, film après film, un potentiel explosif.

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Ecran Large :
Cet écrin délicat, qui dissimule derrière un semblant de dépouillement une élégance remarquable (à laquelle la photographie de Sean Price Williams doit beaucoup), est un terrain de jeu formidable pour Robert Pattinson et Jennifer Jason Leigh, libres de s'épanouir totalement. La capacité des frères Safdie à ménager leur univers très marqué cinématographiquement, en offrant à leurs acteurs un terrain de jeu malléable achève de faire de Good Time uune oeuvre aussi riche que délicate.[...] Derrière ses airs de minuscule polar fauché, Good Time déploie un univers proche de la fantasmagorie où Robert Pattinson impressionne.

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The Apologist :
Pattinson magnétique
Rien ne se passe comme prévu, rien. Les frères Safdie déballent un film vivant où le rythme effréné vous balance dans une quête enflammée, acharnée à travers les bas-fonds d’un New York presque pouilleux. Folie, tentatives vaines, Good Time s’autorise des largesses sans ternir la fluidité et associe son périple à une bande-son complètement déglinguée. Visuellement, Good Time n’est pas en reste.
La grosse cote vient de Robert Pattinson. Très attaché au cinéma d’auteur depuis son incartade dans Twillight, l’anglais trouve, avec son rôle de Connie, une performance qui place son jeu d’acteur à un autre niveau. Captivant, psychopathe, criminel, il s’enfonce dans la pénombre new yorkaise, les cheveux teints en blond pour la peine.

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Libération
Pourquoi Connie embarque-t-il tous ceux qu’il croise dans sa cavalcade de désastre ? Bien sûr parce qu’il a le charme gentil de la mégastar Robert Pattinson, qu’on voit enfin fendre l’armure du cover boy parfumé et devient un candidat sérieux au prix d’interprétation masculine, mais aussi plus sûrement, tel l’idiot éternel, parce qu’il cherche non le mal mais le bien.

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RFI

Festival de Cannes 2017 : Good time des... par rfi

Le bleu du miroir
Dynamitant la (longue) liste de films « clichés d’auteur » jusqu’ici présentés dans une compétition cannoise moribonde, ce polar nocturne vient injecter un sang neuf bienvenu dès son électrique ouverture. On pense, bien sûr, à Martin Scorsese, à Sidney Lumet, à James Gray ou encore à Nicolas Winding Refn pendant ce périple éreintant à travers la ville mais, loin de les occulter, les réalisateurs assument, au contraire, pleinement ces références parfois jugées écrasantes. Malgré un scénario inaccompli, ils y adjoignent leur propre style, une mise en scène au plus près des corps et des visages, pour imposer leur vision de la marginalité. Après une succession de bons choix (chez David Cronenberg, David Michôd ou James Gray), Robert Pattinson crève l’écran dans le rôle principal. Méconnaissable en jeune braqueur pour qui les choses tournent mal, il prouve, une nouvelle fois, l’intensité de son jeu en livrant une prestation mémorable, très largement digne d’emporter un beau prix d’interprétation masculine.

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Le Monde
Cette affection s’étend jusqu’à Connie, qui ne la mérite que par la constance de son amour fraternel. Le reste – les mensonges patents, la violence physique, l’aveuglement, l’utilisation éhontée d’autrui – en ferait un garçon tout à fait antipathique, s’il n’y avait pas Robert Pattinson. Jusqu’ici, l’ex-star de Twilight, qui a renoncé au cinéma de studio pour des projets indépendants souvent audacieux (le dernier en date étant The Lost City of Z., de James Gray), ne tenait qu’une note par personnage, certes pas toujours la même. Pour les Safdie, Pattinson a étendu son registre. Pitoyable puis terrifiant, charmeur puis lubrique, il est un ange. Un ange de la mort qui se prend pour un ange gardien.

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Le blog du cinéma :
Mené par un Robert Pattinson incroyable accumulant les choix de rôles tous plus judicieux les uns que les autres, GOOD TIME devient un film hallucinant et halluciné à mesure qu’il avance. Éclairée aux néons ou à la lumière d’une fête foraine (formidable scène dans le train fantôme), l’histoire se déréalise et devient un trip sous acide dingue, imprévisible. Ce qui donne cette impression de vivre une longue virée nocturne cauchemardesque de laquelle on ne peut s’extirper. Et quand le jour se lève, ce n’est pas pour y mettre fin.

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Culture Box
Quant à Robert Pattinson dans le rôle de Connie, il est remarquable en petite frappe sans envergure qui a une longueur d’avance sur ce qui va se passer, ce qui ne l’empêche pas de tomber dans les embûches les plus attendues. Son rapport à Nick ne repose pas uniquement sur l’exploitation de sa crédulité, mais s’appuie aussi sur une tendresse fraternelle véritable. Pour sa prestation très nuancée, Pattinson est à cette heure le prétendant le plus sérieux au Prix d’interprétation masculine.[...] Un trip nocturne, sensible et drôle, au rythme d’un thriller endiablé, avec un Robert Pattinson absolument étonnant.

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Cinéphilia
Cependant, l’élément que les spectateurs retiendront en particulier, c’est l’interprétation irréprochable de Robert Pattinson qui confirme de film en films les espoirs placés en lui. Depuis la fin de la saga Twilight, il ne fait que de bons choix, ou presque. De plus, il est chaque fois impeccable, que ce soit avec David Cronenberg ou James Gray. Ici, il a un jeu bien plus physique que d’habitude. Il a une démarche, une attitude qu’on ne lui avait jamais vue par le passé. Il s’en sort admirablement bien, au point que l’on se dise qu’un prix d’interprétation ne serait pas volé (mais il n’est pas le seul prétendant ayant de réelles chances).

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Planète Ciné :
Sondant effectivement les bas-fonds new-yorkais, le film est également un témoignage touchant d’une Amérique des laissés pour compte ou inadaptés dans lequel Robert Pattinson effectue une belle prestation. Parfaitement dans son rôle, l’acteur continue de se détacher de sa trop collante saga Twilight en donnant de sa personne dans l’incarnation d’un homme prêt à tout pour son frère.[...]Les frères Safdie livrent un film atmosphérique sous tension constante dans les bas fonds de New-York avec une prestation remarquable de Robert Pattinson.

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On se fait un ciné :
Avec Good Time, l’acteur trouve là son plus beau rôle. Les cheveux blonds, le regard fixe et cette détermination sans faille pour libérer son frère. Filmer New-York de nuit n’est pas un concept novateur mais il fonctionne toujours, surtout ici avec une photographie et des couleurs particulièrement soignées. Il aurait peut-être fallu étoffer un peu plus le scénario pour que le film soit vraiment parfait mais dans la catégorie polar le film s’en sort haut la main et peut-être que Pattinson pourrait repartir avec un prix d’interprétation.

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Update :

Vanity Fair France :
"Poursuivie par la caméra folle des frères Safdie (à qui on prédit le prix de la mise en scène), éclairée aux néons et rythmée par des nappes synthétiques étourdissantes signées Oneohtrix Point Never, la nuit chaotique de Connie/Robert Pattinson est extrêmement séduisante et offre à l’acteur son plus beau rôle. Celui qui, enfin, après tant d’années et de prises de risque, devrait lui faire décrocher un prix d’interprétation hautement mérité. "

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Les critiques mitigées :

A voir A lire :

"Les Safdie bros. reviennent avec un faux film de braquage écartelé entre le buddy movie et le mélodrame 35 mm. Expérimentations lo-fi sensibles et impétueuses sur un lien fraternel incoercible.[...] Dans le rôle de cet homme prêt à tout pour un instant d’affranchissement, Robert Pattinson, en baratineur magnifique - souvent drôle, jamais désabusé -, redouble sans arrêt de roublardise. Caméléon sympathique et attentionné, il traverse les espaces - voir ces cadrages stupéfiants d’un New York tortueux ou ces couloirs interminables pour signifier l’enfer - et déjoue presque toutes les embûches."

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Télérama : à partir de 11.40 (critiques positives pour Robert mais mitigées pour le film)

Les Echos :

Pour pathétique qu'elle soit, la dérive nocturne de Connie laisse aussi une place à l'humour. L'acharnement absurde mis par Connie à récupérer Nick frôle l'inconscience mais elle exprime la puissance de l'amour fusionnel entre les deux frères. Chacun dans son rôle, Robert Pattinson et Benny Safdie sont parfaits. "Good Time" est un film de genre musclé et malin, un peu « déjà vu » - un peu trop pour être exposé aux feux de la compétition officielle. A moins que les Safdie ne réitèrent l'exploit des Coen qui, peu connus, sinon des cinéphiles, étaient repartis avec la palme d'or. On leur souhaite, mais il manque à « Good Time » la folie surréaliste de « Barton Fink » qui avait séduit Roman Polanski.

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Cinematraque : critique mitigée pour le fil mais positive pour Robert :
Mais ceux qui polissent le plus l’écran (je la garde mon expression, me cherche pas), ce sont les deux frères. Robert Pattison, comme dans The Lost City of Z il y a quelques mois, comme dans les films de Cronenberg avant à Cannes, est toujours fantastique. C’est cette petite lueur dans les yeux qui montre l’intelligence du personnage en fait ; ce petit truc en plus qui donne sa force au film. Parce que oui, il a beau avoir raté son coup, il n’en est pas moins très futé.

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Cet article sera mis à jour régulièrement...

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